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Assurance santé expatrié en Inde

>Garanties hospitalisation et rapatriement indispensables
>200 formules comparées
>Meilleur prix garanti
>Services de téléconsultations
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Pourquoi choisir une assurance santé expatrié en Inde ?

Pour un expatrié en Inde, une assurance santé privée sera indispensable. Si les soins courants sont de qualité et tout à fait abordables, il peut vous en coûter très cher en cas d’hospitalisation. Grands habitués du tourisme médical, très sollicités par la population ayant les moyens de payer, les structures privées facturent de plus en plus cher. L’assurance expatrié couvrira tous vos besoins.

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Les chiffres clés de l'assurance santé
en Inde

Dépenses de santé par habitant 189.63€
Indexation annuelle des dépenses de santé 2.9%
Taux de remboursement CFE hospitalisation 67%
Nombre d'assureurs présentant des offres 18
Garantie hospitalisation à 30 ans /an 569€
Garantie hospitalisation à 50 ans /an 1062€
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Le système de santé en Inde

La santé comme marqueur d’inégalité sociale

L’Inde fait partie du top 10 des pays du tourisme médical, comme la Thaïlande, la Malaisie, les Etats-Unis, Singapour, Mexique ou la Turquie. Le rapport qualité/prix fait que ce pays a attiré environ 495.000 patients en 2017, qui ont économisé de 55% à 90% sur leurs procédures et traitements.

Le secteur privé de santé est très développé, avec des équipements médicaux hightech et un niveau de conformité aux normes sanitaires internationales excellent. Les médecins indiens se distinguent dans les domaines de la chirurgie esthétique, des greffes d’organe, de la cardiologie et du cardio-thoracique, de la chirurgie dentaire, et de la chirurgie orthopédique des articulations. Ces derniers ont une très bonne formation (beaucoup d’entre eux ont étudié à l’étranger) et parlent couramment l’anglais, ce qui facilite grandement la communication avec les voyageurs.

L’Etat encourage ce tourisme singulier et économiquement lucratif, en délivrant « un visa médical » pour les étrangers qui désirent se faire soigner dans le pays. On trouve de nombreux hôpitaux très modernes, notamment à Dehli ou Bombay et dans les villes majeures. Il est courant qu’ils aient des contrats avec des agences de voyage.

A l’opposé de cette médecine privée qui détient plus de la moitié des hôpitaux (45.000 vs 25.000) et 85% des médecins, il y a de réelles difficultés d’accès aux soins de santé en Inde ; moins d’un tiers des maladies sont traitées dans le secteur public. Les financements publics sont bloqués depuis 30 ans, (moins de 1.5% du PIB est consacré à la Santé) laissant le secteur privé assumer seul le développement des infrastructures de santé dans le pays. Avec 38.000 lits d’hôpital, le Kerala est l’Etat qui a le meilleur système de santé du pays.

Résultat de cette politique (ou absence de politique) de santé, les infrastructures publiques qui accueillent les plus démunis sont en nombre insuffisant. Elles sont surchargées, le manque de médecin est réel (0.86 médecins pour 1.000 habitants) et l’approvisionnement en médicaments est difficile, dans les zones rurales notamment. Enfin, le semblant d’assurance maladie proposé par les différents Etats au titre de la Sécurité Sociale, ne concerne que les travailleurs salariés (ESIC).

L’accès à la santé est un des marqueurs des inégalités sociales en Inde ; 74% des dépenses totales de santé du pays sont réalisées dans le secteur privé. Mieux vaut être expatrié, ou de la classe supérieure pour être soigné correctement : les mieux soignés sont ceux qui peuvent payer. Dans ce contexte, une assurance santé sera primordiale en Inde. Bien que les frais de santé soient abordables, sans assurance, tous vos frais de santé seront à votre charge.

Situation sanitaire et précautions à prendre

Lorsqu’on se lance à la découverte de l’Inde, il est conseillé de prendre des précautions et de bien s’informer. De façon générale, évitez les aliments crus ou peu cuits et consommez de l’eau en bouteille, jamais l’eau du robinet. Les glaçons et boissons décapsulées sont à proscrire.

Dans certaines grandes villes comme Delhi, Bombay ou Bangalore, il y existe un risque de problèmes respiratoires en raison des embouteillages et du niveau élevé de polluants.

Avant de partir, il est toujours recommandé de consulter votre médecin généraliste qui connait votre état de santé, et donnera des conseils de sécurité sanitaire en relation avec votre cas. Cette consultation devrait se faire assez longtemps avant le départ, au cas où des rappels de vaccination sont à effectuer.

Aucune vaccination n’est obligatoire pour se rendre dans le pays, mais les suivantes sont tout de même recommandées : hépatites virales A et B, Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite, fièvre typhoïde et dans une certaine mesure, le vaccin anti-méningococcique.

Les conditions d’hygiène en Inde peuvent choquer les visiteurs. De part leur philosophie-même, les Indiens sont indifférents à lutte contre les origines les plus évidentes des maladies infectieuses : cadavres d’animaux ou même d’humains le long de la route, prolifération des rats (cause de la présence de peste dans le pays) …

Le paludisme, la dengue et le Chikungunya font partie des maladies présentes. Ces maladies sont véhiculées par les piqûres de moustiques, donc des précautions sont doublement conseillées.

Le SIDA aussi se rencontre fréquemment en Inde : plus de 2 millions de séropositifs en 2017 d’après UNAIDS et NACO.

Prix des soins sur place

Le coût des soins en Inde est largement inférieur à ceux pratiqués en France, avec un écart de près de 30%. Les interventions de chirurgie cardiaque coûtant dans les 80.000 à 120.000 dollars valent 9.000 dollars en Inde. Le pontage du cœur ne coûte que 2.000 dollars alors qu’aux USA il s’élève à 130.000 dollars.

Ces prix ne révèlent pas une moindre qualité de soins, l’Inde est reconnue pour la qualité de ses soins médicaux et de ses tarifs concurrentiels.

Certaines régions ont de bons niveaux de soins, mais à prix élevés. Comme à Bombay, au Breach Candy Hospital, Hinduja Hospital et le Lilavati Hospital. Les tarifs de santé vont varier en fonction de l’endroit où vous vous trouverez, pour la même pathologie le tarif pourra être complètement différent d’un Etat à un autre (ce qui fait se déplacer les patients qui recherchent les tarifs les plus économiques).

Encouragés par un tourisme médical très présent, certains établissements de santé n’hésitent plus à surfacturer et encouragent à la consommation de soins de santé. En Mai dernier, une patiente de Calcutta a ainsi vu passer sa facture d’hôpital de 1.5 million de roupies à 1/3 de la somme, après avoir demandé des explications et contesté des « frais cachés et incompréhensibles ».

Les médicaments de marque comme les génériques sont à des tarifs très compétitifs. L’Inde serait dans le top 5 des pays ayant les prix moyens des médicaments les moins chers au monde.

Les tarifs des soins optiques et dentaires seront inférieurs à ceux pratiqués en Occident, pour une qualité de soins quasiment égale.

Choisir une option optique/dentaire n'est donc pas indispensable, il vaudra peut-être mieux allouer ce budget à la prévoyance.

Comment choisir un médecin ?

Optez pour les médecins du secteur privé. C’est vers eux que vous serez dirigé dans tous les cas.

En général, il sera difficile de trouver un médecin parlant français. Les consulats de France peuvent fournir des listes de médecins ou de centres de soins recommandés pour les expatriés.

Avec une assurance santé internationale, les services de téléconsultation pour les maux courants vous rendront un grand service. Les services d’une assistance médicale pourront vous aider pour les questions en cas d’urgence.

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Les particularités des assurances
santé pour expatriés

La Sécurité Sociale en Inde

La sécurité sociale pour les expatriés

Un accord bilatéral a été signée entre l’Inde et la France et est entré en vigueur au mois de juillet 2011. Attention, cet accord concerne la retraite et aucunement la couverture maladie-maternité.

A moins d’être détaché (maxi 60 mois), la Sécurité Sociale Française ne vous couvrira pas en tant que résident longue durée en Inde. Si vous êtes salarié, la législation indienne de sécurité sociale vous est applicable, vous devez vous adresser aux organismes locaux. La question est de savoir si ce système pourra vous satisfaire compte tenu de la qualité des soins fournis dans le public.

Dans le cas d’un détachement de travailleur, celui–ci peut maintenir son assurance vieillesse en France jusqu’à 5 ans, et est donc exempté de cotiser pour cette assurance en Inde.

Prémices d’une couverture santé universelle 

La sécurité sociale comme nous l’entendons en France, tel un système de santé unique pour tout le pays, n’existe pas en Inde. Il n’y a pas « un », mais « des » systèmes de santé en Inde, qui sont propres à chaque Etat.

Cependant un projet d’une couverture santé universelle existe bien. Ainsi a été lancé le Pradhan Mantri Jan Arogya Yojana le 23 Septembre 2018, « le plus grand plan d’assurance santé au monde ». Ce « Modicare » vise à proposer une couverture santé aux plus démunis en priorité. Ainsi en Juillet 2019, environ 125.7 millions de familles étaient bénéficiaires du PMJAY.

Ce programme est supporté par un partenariat public-privé de 16,085 hôpitaux, dont 8,059 hôpitaux privés (EHCP) et 7,980 hôpitaux publics (CPHC

Fonctionnement de la sécurité sociale indienne 

La protection sociale en Inde est essentiellement destinée aux salariés du secteur formel organisé, ce qui explique qu’elle soit placée sous la tutelle du ministère du travail. C’est l’ESI (Employees’ State Insurance Act) qui détermine cette couverture, avec 4 autres textes.

Sont couverts : les employés et leur famille contre les risques de vieillesse-invalidité-décès, maladie-maternité, chômage, accidents du travail et maladies professionnelles. Les prestations en nature sont administrées par les Etats et les administrations territoriales, s’ils ont mis en place la protection sociale.

Elle est destinée aux salariés percevant moins de 21.000 INR et qui travaillent dans les usines, dans les commerces, cinémas, théâtres, hôtels, restaurants, transports routiers et entreprises de presse d’au moins 10 personnes. Il couvre également les institutions médicales privées et établissements privés de plus de 20 personnes et plus.

Les droits ESI sont ouverts dès le premier versement des cotisations, et les prestations sont accordées sans plafonds de dépense dans les dispensaires, les hôpitaux et les institutions conventionnées. L’hospitalisation et les frais chirurgicaux sont couverts dans les établissements agréés, tout comme les consultations de spécialistes, les services de laboratoires, et les médicaments, vaccins et prothèses, ou encore les visites à domicile et le transport en ambulance.

Le taux de cotisation salarié ESIC est minime pour les salariés. En Juillet 2019 il était de 0.75% du salaire brut mensuel.

Parmi les institutions responsables de la gestion de la Sécurité sociale figurent :
- l'Institution d’Assurance Sociale des Travailleurs Salariés ou Employees' State Insurance Corporation (ESIC), qui fournit les prestations en espèces en cas de maladie-maternité, chômage, ou accident de travail et maladie professionnelles.
- et l’Organisation du Fonds de Prévoyance des Travailleurs Salariés ou Employees' Provident Fund Organisation (EPFO), qui gère la mise en place d’un fonds de prévoyance en cas d’invalidité, de retraite, ou de décès de l’employé.

Par ailleurs, la Maternity Benefit Act est la loi prévoyant la couverture des femmes salariées non couvertes par l’ESI (assurance sociale des travailleurs). Et la Loi sur l’indemnisation des employés couvre les employés des structures de moins de 10 personnes qui ne sont pas affiliés à l’ESI. Elle prévoit une indemnisation financière en cas d’accident de travail ou de maladies professionnelle.

Enfin le RSBY ou programme national d’assurance maladie (lancé en 2008), couvre les travailleurs des secteurs informels (non couverts par un autre système ou vivant sous le seuil de pauvreté) et donne droit à une couverture hospitalisation de 30.000 INR par an et par famille, contre une cotisation annuelle de 30 INR.

En tant qu’expatriés, la couverture sécurité sociale ne sera pas à prendre en compte pour la partie santé qui est prévue pour les revenus de moins de 240€/mois. La souscription d’une assurance santé expatrié sera nécessaire et bien plus adaptée. Si vous êtes travailleurs indépendant, vous êtes automatiquement exclu du régime de sécurité sociale.

Pour plus de détails sur la couverture vieillesse-invalidité-décès, chômage et accidents du travail-maladies professionnelles, nous vous recommandons de consulter le CLEISS.

La couverture CFE en Inde

La CFE couvrira vos frais engagés en Inde, mais vu les tarifs médicaux appliqués sur place, elle devra être complétée par une complémentaire santé expatrié de niveau économique ou confort, si vous souhaitez un remboursement complet.

La couverture santé CFE est une première base de remboursement, y compris en cas d’hospitalisation. En Inde, la CFE remboursera selon les % de remboursements prévus pour la zone 1 (CFE). Dans le cadre d’une hospitalisation, elle prendra 67% de la facture en charge, pour vos factures de pharmacie ce sera 65%, ou 50% de celles de vos analyses de sang.

Vous comprenez donc que la base CFE relativement sera adaptée pour des soins courants peu onéreux, mais insuffisante pour vous assurer une prise en charge complète dans le cadre d’une pathologie grave ; ou tout simplement si vous voulez un remboursement à 100%.

Calculée par rapport à votre âge (et si vous êtes seuls ou 2 personnes et +), la cotisation auprès de la CFE permet notamment aux adhérents d’être couverts en France, et de retrouver immédiatement la Sécu lors du retour définitif.

De nombreux expatriés optent également pour des contrats santé internationaux sans CFE (dites au 1er euro), ou pour des assurances privées locales. En fonction de vos besoins et de votre situation, nos conseillers sauront vous orienter au mieux dans votre choix.

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Les différences entre les assurances
santé françaises et locales

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Choisir une assurance santé expatrié en Inde

Pourquoi faut-il souscrire ?


Même si les soins sont moins chers qu’en Europe, l’absence de couverture sociale adaptée peut présenter un risque de santé et financier en cas d’hospitalisation ou de traitement long.

La souscription d’une assurance santé expatriée est donc nécessaire. Elle vous permettra de choisir librement votre médecin, assurera un remboursement à 100% des frais engagés en cas d’hospitalisation et sera adaptée au niveau de frais de santé dans le secteur privé.

Par ailleurs, le risque sanitaire est relativement marqué et les insuffisances des services de santé sont très fortes en dehors des grandes villes. L’assurance rapatriement est indispensable en cas de déplacement dans le pays, mais aussi pour être certain d’être orienté vers des hôpitaux de qualité.

En souscrivant à une assurance internationale, vous êtes couvert partout dans le monde, votre couverture sera non seulement valable en Inde mais aussi lors de tous vos déplacements ponctuels ; et notamment lors de vos retours en France.

Les services d’assistance et de téléconsultations vous permettront également de bénéficier d’un second avis médical et d’éviter des interventions chirurgicales inadaptées ou même inutiles. Dans un système où la santé est une réelle industrie, ce sont des choses qui ne sont pas rares.

Quelles garanties choisir ?

Un niveau de couverture économique ou confort peut être suffisant pour l’Inde.

Nous vous conseillons de garantir en priorité l’hospitalisation.

Veillez à assurer également les frais médicaux, la maternité, et éventuellement les frais d’optique/dentaire si vous avez des besoins réguliers ou un projet maternité.

Un remboursement à 80% ou 90% sur ces frais peut permettre de faire des économies de cotisation sans prendre un risque financier marqué.

Pour plus de détails faites un comparatif mutuelle expatrié en ligne et demandez le rappel d’un conseiller pour vous aiguiller au mieux.

Faut-il faire l’avance des frais ?

Dans le système public une grande partie des frais médicaux et de médicaments sont pris en charge par la sécurité sociale en Inde (E.S.I). Par contre, les consultations et soins doivent être effectués dans un établissement affilié à l’E.S.I pour pouvoir bénéficier de ces prestations.

Les expatriés préférant le plus souvent le système privé (à juste titre), il faudra faire l’avance des frais, sauf en cas d’hospitalisation de plus de 24 heures où une prise en charge directe est possible.

Aujourd’hui, la demande de remboursement des frais courants et optique/dentaire se fait facilement en ligne (fini le temps du courrier postal). Les assureurs proposent tous des espaces clients, souvent des applications mobiles, pour la gestion de vos remboursements.

De manière générale, les factures jusqu’à 1.000€ peuvent être transmises par voie numérique. Les factures de plus de 1.000€ (plus rares) devront tout de même être envoyées par courrier.

Quand et comment souscrire ?

Les procédures d’adhésion aux garanties expatriés sont plus complexes que pour une mutuelle classique, il convient donc de s’y prendre environ 30 jours avant le départ ou la date d’effet souhaitée.

Il est vivement recommandé de souscrire avant votre départ, car ce qui vous permet de bénéficier des avantages de votre couverture santé dès votre arrivée ; en cas de problème vous êtes déjà assuré !

Notre site vous permet de faire des tarifications en ligne et de comparer les garanties. Choisissez une formule et demandez les conditions d’assurance à un conseiller. Il vous aidera ensuite pour toute la procédure d’adhésion.

Assistance rapatriement

Indispensable compte tenu du manque d’homogénéité de l’offre de soins. L'assistance vous permettra d'être transporté dans de bonnes conditions vers l'hôpital le plus adapté à votre pathologie, et de trouver plus facilement des centres de soins offrant des équipements de qualité et des médecins maîtrisant les techniques les plus modernes.

Elle offre également des services que l’on peut qualifier de « confort » mais qui seront bienvenus en cas de coup dur : payer le voyage à un parent qui viendra à votre chevet, organiser la garde ou le transfert des enfants, bénéficier de conseils et d’avis médicaux, etc.

Pour rappel, en cas d’urgence médicale ce n’est ni à votre ambassade, ni à votre consulat d’organiser et d’assumer les frais d’un rapatriement sanitaire. Si vous ne tenez pas à régler seul la facture (qui peut atteindre plusieurs milliers d’euros), une option assistance rapatriement est fortement recommandée en Inde.

Assurances complémentaires pour expatriés

Vieillesse/Invalidité/Décès :
A moins qu’un plan de retraite et de prévoyance convenables soient prévus par votre employeur, la souscription d’une retraite par capitalisation sera nécessaire. De même dans le cadre de la prévoyance invalidité/décès, il est recommandé de souscrire à une assurance privée ou à l’une des options de la CFE pour protéger votre famille.

Pour les salariés et détachés, l'accord de sécurité sociale entre la France et l'Inde coordonne les assurances invalidité, vieillesse et survivants (pension). Pour plus de renseignements sur la transposition des droits et les caractéristiques de cet accord, vous pouvez consulter la page du CLEISS : https://www.cleiss.fr/docs/textes/conv_inde/

Responsabilité civile et protection juridique :
En Inde, la souscription d’une assurance de responsabilité civile et protection juridique n’est pas obligatoire, mais conseillée.

Elle couvre tous les préjudices matériels et immatériels qu'un expatrié ou un membre de sa famille pourrait faire subir à un tiers et apporte une assistance précieuse pour tous les aspects juridiques. Si vous avez des enfants, ces assurances peuvent être exigées par leur école surtout s’il s’agit d’un établissement adhérent à l’AEFE.

Assurance Auto :
L’assurance au tiers est obligatoire et elle doit être contractée auprès d’une compagnie locale. Les compagnies indiennes considèrent les antécédents et octroient des bonus jusqu’à une réduction de 60% sur la prime d’assurance.

Il est aussi obligatoire pour les étrangers d’être porteur d’un permis international. Ce dernier est généralement valable 1 an en Inde. En cas d’accident, il ne faut pas rester sur les lieux sans présence policière et se rendre au bureau de police le plus proche.

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